
Cette journée est l’occasion de
dénoncer la violence à l’encontre des femmes. En France, une femme meurt tous
les deux jours sous les coups de son compagnon. Selon l’organisation
mondiale de la santé,1 femme sur 3 subit
des violences physiques, harcèlement moral ou sexuel à un moment de sa vie. La
violence est présente dans tous les pays du monde sans exception mais son
intensité varie d’un pays à un autre, et au sein d’un même pays d’une région à
une autre. Dans un contexte familial, la
violence prend de l’ampleur dans le sens où ses dégâts sont désastreux autant pour le couple que pour les générations
à venir, les enfants exposés régulièrement à des violences développent des complexes comportementaux, psychologiques et scolaires parfois difficile
à déceler. Les adultes ayant grandi dans
un climat de violence ont plus de risque d’être victimes ou même acteurs de
violence, parce que le processus ne s’arrête pas au moment où l’enfant assiste et
mémorise un acte de violence mais bien au-delà!
La violence, nature humaine ou
nature masculine, façonne des personnes pathologiques, qui frappent, harcèlent, violent avec autant
de haine et d’atrocité dégagée envers de faibles créatures. Le problème le vrai
n’est pas d’accuser les hommes ou de défendre les femmes mais tout simplement d’arrêter
de violenter les femmes. Est-ce trop demandé ? Oui, malheureusement. Néanmoins,
tout un chacun peut contribuer à combattre la violence à l’égard des femmes. Ne
soyons pas de simples spectateurs !
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